Occurences de l'expression

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pour LA MOTTE, Antoine Houdart de

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LA MATRONE D'Ã‰PHÃˆSE (1702)

Viens ça, Licas, tandis que ton maître se tue à résoudre ma maîtresse à vivre respirons ici un peu de bon air. (Acte 1, scène 1, FROSINE)
Mais motus au moins, ma maîtresse croit que je ne bois ni ne mange non plus qu'elle ; dans les premiers mouvements de la douleur, nous nouâmes la partie de mourir ensemble, et j'étais de bonne foi ; car je perd presque un époux moi, dans celui de Madame. (Acte 1, scène 1, FROSINE)
Ma Maîtresse en devrait bien faire autant. (Acte 1, scène 1, FROSINE)
Tant mieux, ce serait un meurtre da, de vous laisser mourir, vous n'êtes encore qu'un jeune abre ; et ce serait morguié bien du fruit de perdu. (Acte 1, scène 1, LICAS)
Il est vrai que la vie sied bien à vingt ans, et je ne sais comment ma Maîtresse peut se résoudre à la quitter si tôt. (Acte 1, scène 1, FROSINE)
Ton maître fait tout ce qu'il peut pour l'en persuader, il soupire , il gémit à merveille ; il lui dit les meilleures raisons du monde : c'est grand domage qu'il soit si vieux. (Acte 1, scène 1, FROSINE)
Je connais Euphémie ; la jeunesse et la bonne mine la mettraient cent fois mieux à la raision, que les plus beaux discours du monde : tiens il y a deux ans qu'elle voulut s'engager parmi les Prêtresses de Diane ; toutes les instances, toutes les larmes de sa famille ne firent qu'opiniâtrer sa petite ferveur, et elle commençait enfin son serment à la Déesse, lors qu'elle aperçut un jeune homme, qui d'un clin d'oeil, lui coupa la parole ; les vapeurs la prirent, elle sentit qu'elle n'était point faite pour Diane ; il fallut la marier huit jours après, et le jeune homme enfin devint l'époux qu'on pleure aujourd'hui. (Acte 1, scène 1, FROSINE)
Il y a un an que je te connaissions mon maître et moi : quand ils veniont chez nous lui et Madame Euphémie, ils batifoliont sans cesse ensemble ; ils étiont morgué si affolés l'un de l'autre qu'on ne les eut jamais pris pour mari et femme. (Acte 1, scène 1, LICAS)
Le pauvre homme s'est tué à aimer ma maîtresse ! (Acte 1, scène 1, FROSINE)
C'est ton Maître... non Licas, vous avez beau me presser, je ne prendrai pas le moindre soulagement que ma chère maîtresse ne m'en donné l'exemple. (Acte 1, scène 1, FROSINE)
Et de soixante et dix ans, Monsieur : c'est votre grande maladie ; eh morgué n'est-il pas honteux d'entreprendre à votre âge, de ressusciter une veuve de vingt ans ? (Acte 1, scène 3, LICAS)
Quoi, votre fils ! (Acte 1, scène 3, LICAS)
Je suis impatient de le connaître ; depuis trois ans qu'il est en campagne je ne savais pas tant seulement qu'il fut de retour ; mais ce n'est pas là un emploi pour ly ? (Acte 1, scène 3, LICAS)
N'importe, Monsieur, retirons-nous ; il ne fait point bon aux environs, de ces soldats : ce sont des brutaux qui vous cherchont querelle, et qui vous obligeont souvent à troquer votre bourse contre des gourmades. (Acte 1, scène 3, LICAS)
Notre lumière est éteinte ; je meurs de peur : la nuit est terriblement noire ! (Acte 1, scène 4, STRATON)
On parle autour de nous, Monsieur ; éloignons-nous de grâce : je devrions être déjà bien loin. (Acte 1, scène 4, LICAS)
J'entends quelqu'un, on en veut peut-être à notre souper ? (Acte 1, scène 4, STRATON)
Je tremble ! (Acte 1, scène 4, STRATON)
Mais n'importe, il faut intimider les autres : qu'on marche en bon ordre, et faites-moi sauter la cervelle à tout ce qui vous fera suspect. (Acte 1, scène 4, STRATON)
Mon maître ce sera impatienté ; j'ai perdu du temps à goûter le vin ! (Acte 1, scène 6, STRATON)
S'il faut avec cela, que je retourne sans le souper, mon Maître ne jeûnera point impunément ; je serai roué du coups de bâton : le moyen aussi de rien ramasser fans lumière ! (Acte 1, scène 6, STRATON)
Ah, je tremble encore ! (Acte 1, scène 7, STRATON)
Je vous ai crû un de ces fripons qui viennent de renverser votre souper. (Acte 1, scène 7, STRATON)
Ils étaient plus d'une douzaine qui viennent de fondre sur celui qui le portait : le pauvre garçon en a été blessé ; j'ai crû l'être moi ! (Acte 1, scène 7, STRATON)
Vous savez quel risque vous courrez à abandonner si longtemps votre poste ? (Acte 1, scène 8, STRATON)
De grâce, Madame, éloignez-vous un moment de ce funeste objet : donnez quelque trêve à votre désespoir, et plaignez-vous du moins sans vous arracher les cheveux, et sans vous meurtrir de vos propres mains. (Acte 1, scène 9, FROSINE)
Cela pourrait bien être, Monsieur ; je commence à me rassurer : on dit qu'elle s'est enfermée dans le tombeau de son mari pour s'y laisser mourir de douleur ; il serait beau voir cela, Monsieur, pour la rareté du fait ! (Acte 1, scène 9, STRATON)
Le récit m'en avoir déja attendri ; mais la présence de cette Dame me cause encore tout une autre émotion ! (Acte 1, scène 9, SOSTRATE)
Je vous avouerai, Madame, que de moment en moment, votre résolution de mourir me paraît moins raisonnable : je trouvais beau d'abord que vous portassiez l'amour conjugal à un excès qui fit parler de vous ; mais je trouve à présent que c'est une faiblesse, et qu'au bout du compte, tout cet honneur là ne vaut pas la vie : le bon homme Monsieur Chrisante devrait bien vous en avoir persuadée ! (Acte 1, scène 9, FROSINE)
Et jeune et belle comme vous êtes, croyez-vous vous être acquittée envers elle, en faisant le bonheur d'un seul homme ? (Acte 1, scène 9, FROSINE)
Hélas, ma chère Frosine, je ne veux pas feulement me souvenir qu'il y en ait d'autres sur la terre ! (Acte 1, scène 9, EUPHÉMIE)
Ne me regardez points Madame, comme un importun qui vienne ici condamner votre douleur, et la redoubler peut-être en la combattant : elle ne saurait être injuste, puisque vous vous y abandonnez ; et vous saurez sans doute lui donner des bornes, dès que la raison l'exigera. (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Le hasard ; vient de me conduire ici, mais ce n'est plus lui qui m'y arrête : je sens que je m'intéresse à votre douleur ; l'excès de votre attachement pour un époux m'en inspire un pour vous, que je sens naître avec plaisir : non il n'est point ailleurs d'âme faite comme la vôtre ; et quand vous ne seriez pas la plus belle personne du monde, comme vous l'êtes, vous ne laisseriez pas d'être encore la plus adorable. (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Votre esprit est tout occupé de ce que vous avez perdu ? (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Et vous n'honorez pas de la moindre attention la part et l'intérêt qu'on prend à votre perte ? (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Encore une fois, Madame, ne craignez rien ; je ne veux point vous distraire de votre douleur : épanchez seulement avec moi, des sentiments que je respecte ; laissez-moi voir ces yeux noyés de larmes, que j'admire : il n'appartient qu'à des veuves moins sincères de cacher des yeux qui les servent mal. (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Non, l'estime que j'ai conçue pour vous, ne me laisse pas la liberté de vous en croire : votre âme est capable de douleur ; mais elle ne saurait l'être de désespoir. (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Je l'aiderai plutôt ; il n'y a rien que je ne fasse pour sauver la vie à ma maîtresse. (Acte 1, scène 10, FROSINE)
Vous allez être englouti ! (Acte 1, scène 10, STRATON)
Le Ciel nous avoir faits pour être toujours unis l'un â l'autre ; je ne fais que suivre ma destinée : je sentis cette fatalité dès la première fois qu'il s'offrit à ma vue ; et depuis cet heureux moment, je n'en sache point où je n'aie été uniquement occupée de lui : si j'ai à me reprocher quelque distraction, ce n'est que depuis que vous me parlez ! (Acte 1, scène 11, EUPHÉMIE)
Hé bien, Madame, j'y consens, rappelez tous les plaisirs que vous avez goûtez dans cette union ; c'est pour ces plaisirs mêmes que vous devez vivre : l'amour peut vous réserver un nouvel amant aussi digne que le premier de toute votre tendresse, et peut-être encore plus épris de vos charmes. (Acte 1, scène 11, SOSTRATE)
Il me semble, mon enfant, que ta Maîtresse commence à plier ? (Acte 1, scène 12, STRATON)
Ta Maîtresse ! (Acte 1, scène 12, FROSINE)
Eh oui, vraiment ; tu es suivante, je suis valet, nous nous connaissons de reste : ne veux-tu pas que je débute, ne me regardez point, Madame, comme un importun qui... je t'en réponds ; c'est là langue des maîtres : je te parle la mienne. (Acte 1, scène 12, STRATON)
Entre nous donc, le désespoir de ta maîtresse commence à se battre en retraite ? (Acte 1, scène 12, STRATON)
Il devrait être à moitié rendu de famine ? (Acte 1, scène 12, STRATON)
Ton maître ne lui fait point de quartier. (Acte 1, scène 12, FROSINE)
Voilà déjà mon maître au pied du rempart ! (Acte 1, scène 12, STRATON)
Je suis délicat aussi, belle Euphémie, et je sens que j'exigerai bientôt de vous, un amour qui ne se rapporte qu'à moi : je ne veux point nourrir en vous la pensée d'aucun autre ; et ce sera peu pour moi de vous avoir consolée, si je ne parviens à vous faire oublier que vous ayez jamais eu besoin de l'être. (Acte 1, scène 14, SOSTRATE)
Mon Maître est délicat, voyez vous ? (Acte 1, scène 14, STRATON)
À notre Libérateur. (Acte 1, scène 14, FROSINE)
Oh parbleu, jette serai raison ; mon maître excusera mon zèle. (Acte 1, scène 14, STRATON)
Et conçois-tu qu'on puisse être plus aimable ? (Acte 1, scène 14, SOSTRATE)
Mon maître est comme un fou dans son lit ; il prononce à tout bout de champ le nom de Madame, avec des hélas si douloureux que ça vous ferait pitié à vous même. (Acte 1, scène 15, LICAS)
Il s'en faut bien ma foi, que ton maître n'ait l'air aussi persuasif ! (Acte 1, scène 15, FROSINE)
C'est mon maître ; l'impatience l'a pris. (Acte 1, scène 16, LICAS)
Quoi, perfide Euphémie, ne vous seriez-vous renfermée dans le tombeau de votre mari, que pour le faire servir de rendez-vous à un amant qui le déshonore ? (Acte 1, scène 16, CHRISANTE)
Non, non, point de Monsieur Chrisante : l'amour que j'avais pour vous se tourne en rage ; et je saurai bien vous faire payer les pleurs que votre fausse vertu m'a coûtées. (Acte 1, scène 16, CHRISANTE)
Toutes les femmes sont déformais pour moi autant de monstres que j'abhorre ! (Acte 1, scène 16, CHRISANTE)
Il y a trois jours que vous nous persécutez pour nous résoudre à vivre : notre constance ne tenait plus qu'à un filet ; Monsieur vient de le rompre: qu'y a-t-il là de si étonnant ? (Acte 1, scène 16, FROSINE)
Ah , mon cher Maître, nous sommes perdus ! (Acte 1, scène 17, STRATON)
Notre criminel nous a joué d'un tour ! (Acte 1, scène 17, STRATON)
Voila ce nue votre absence nous coûte ! (Acte 1, scène 17, STRATON)
La moitié de votre troupe s'est endormie, le reste s'est dissipé ; et ce fripon de pendu a pris ce moment là pour se faire enlever par ses amis. (Acte 1, scène 17, STRATON)
Non, non, je ne fuirai point, je craindrais trop d'être surpris : je sais un moyen plus sûr de me dérober à la honte qui me menace ? (Acte 1, scène 17, SOSTRATE)
Votre danger rapelie toute ma tendresse ; et je n'ai plus d'autre passion que de vous sauver la vie. (Acte 1, scène 17, CHRISANTE)
Hélas pour sauver la vie à mon maître, je me mettrais volontiers à la place vide ; mais on reconnaîtrait la fraude : celui qui l'occupait était de deux pieds plus grand que moi. (Acte 1, scène 17, STRATON)
Si Madame voulait plutôt, sans faire tort à personne, notre défunt... (Acte 1, scène 17, FROSINE)
Ma chère Maîtresse ! (Acte 1, scène 17, FROSINE)
N'hésitez plus, Madame ; je consens que Sostrate s'unisse avec vous pour jamais son intérêt devient vôtre premier devoir : conservez un époux ; et rendez moi mon fils, de grâce. (Acte 1, scène 17, CHRISANTE)
Ah mon cher Maître a que je vous embrasse ! (Acte 1, scène 17, STRATON)

LE CARNAVAL ET LA FOLIE (1752)

Versez, que le Nectar enchante notre coeur, v.3 (Acte 0, scène 1, JUPITER , VENUS, et LE CHOEUR)
Triomphez, sur nos coeurs étendez votre empire. v.8 (Acte 0, scène 1, VÉNUS)
Triomphez, sur nos coeurs étendez votre empire. v.12 (Acte 0, scène 1, CHOEUR)
Sur notre puissance v.21 (Acte 0, scène 1, JUPITER)
Ne pouvez-vous naître v.42 (Acte 0, scène 1, VÉNUS)
Qui peut craindre pour maître v.46 (Acte 0, scène 1, V?NUS)
Et laisse ici les Dieux maîtres de leurs plaisirs. v.73 (Acte 0, scène 2, JUPITER)
Le Destin m'a soumis au Maître du tonnerre, v.74 (Acte 0, scène 2, MOMUS)
Mon coeur entre vos mains se plaît à se livrer ; v.91 (Acte 1, scène 2, LE CARNAVAL)
Entre vous deux partagez la victoire. v.92 (Acte 1, scène 2, LE CARNAVAL)
Ils m'ont banni du Ciel, et le Maître des Cieux v.99 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Que mes biens désormais soient communs entre nous, v.105 (Acte 1, scène 2, LE CARNAVAL)
Que votre choix est beau ! Que vos liens sont doux. v.121 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Vous ne pouviez trouver de Maîtresse plus belle : v.122 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Qui suit ses lois sans la connaître ; v.126 (Acte 1, scène 2, LE CARNAVAL)
Et j'ai mille rivaux qui ne pensent pas l'être. v.128 (Acte 1, scène 2, LE CARNAVAL)
à Que notre sort est doux ! v.142 (Acte 1, scène 3, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Que notre sort est doux ! v.146 (Acte 1, scène 3, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Votre vaste puissance v.160 (Acte 1, scène 3, LA JEUNESSE)
Amour, de notre flamme accroît la violence, v.166 (Acte 1, scène 3, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Pour le prix de notre constance, v.168 (Acte 1, scène 3, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Nous ne voulons qu'être plus amoureux. v.169 (Acte 1, scène 3, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Je dois la vie à votre amour, v.183 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Mais ne me comptez pas sous votre obéissance ; v.184 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Enfin il faut céder à votre violence ; v.188 (Acte 1, scène 4, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Demeurez, il suffit de votre obéissance. v.191 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Que votre règne commence ; v.196 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Au Dieu d'Amour livrez votre âme, v.230 (Acte 1, scène 4, CHOEUR)
De votre aveu sa pudeur s'est blessée, v.242 (Acte 1, scène 4, LE CARNAVAL)
Au Dieu d'Amour livrez votre âme, v.245 (Acte 1, scène 4, CHOEUR)
Quel autre peut encore me nuire ? v.263 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
J'allais sans eux faire votre bonheur ; v.264 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
À connaître mieux la Folie. v.267 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
J'entends votre coeur soupirer v.278 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
De l'excès de votre martyre : v.279 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
Je dégage mon coeur et je vous rends le vôtre, v.288 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Que nous étions faits l'un pour l'autre : v.291 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Ne croyez pas que votre oubli m'alarme, v.295 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
Je vais entre nous deux, Perfide, v.303 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Mettre tout l'espace des mers. v.304 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
La terre tremble, le ciel gronde, v.311 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
Les ondes et la mort entrent de toutes parts : v.315 (Acte 2, scène 2, CHOEUR)
Et du moins en partant rendez-moi votre hommage. v.342 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
Et votre espoir est mon ouvrage. v.345 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
Et du moins en partant rendez-moi votre hommage. v.347 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
Dans votre printemps ; v.359 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
L'amour est votre guide, v.366 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
La raison contre vous n'a que de faibles armes ; v.378 (Acte 2, scène 4, LE CARNAVAL)
Il est temps qu'à mes feux votre caprice cède, v.382 (Acte 2, scène 4, LE CARNAVAL)
Avez-vous livré votre amant ! v.407 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Ce n'est plus cet aimable Maître v.408 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Il sent son désespoir s'accroître ; v.411 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
L'Univers va le méconnaître, v.413 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Votre trahison v.414 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Il est depuis longtemps digne de votre flamme : v.419 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
D'être délivré d'elle ? v.425 (Acte 3, scène 2, LA FOLIE)
C'est assez éprouver votre âme : v.432 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
De son coeur l'Amour n'est plus le maître, v.435 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Ah ! Le Traître ! v.436 (Acte 3, scène 2, LA FOLIE)
l'oubli succède aux feux que vous aviez fait naître ; v.439 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Vous, allez sceptre vain, dont j'impose mes lois : v.460 (Acte 3, scène 2, LA FOLIE)
De notre aimable folie v.492 (Acte 3, scène 3, LA FOLIE, LE CHOEUR)
L'Amour a dans son coeur fait renaître ses feux ; v.538 (Acte 3, scène 5, MOMUS)
Que pour ce Dieu charmant votre ardeur se réveille ; v.550 (Acte 3, scène 5, MOMUS)
Les rochers renversés, et la terre tremblante, v.580 (Acte 4, scène 1, LA FOLIE)
Mes traits de votre coeur ne sont pas effacés. v.623 (Acte 4, scène 2, LA FOLIE)
Ciel ! Qui peut avoir mis mon sceptre dans ses mains ! v.634 (Acte 4, scène 2, LA FOLIE)
Je vous ai trompé l'un et l'autre : v.641 (Acte 4, scène 3, MOMUS)
Mais c'est assez jouir de son trouble et du vôtre. v.642 (Acte 4, scène 3, MOMUS)
Le vôtre était de vous aimer, v.645 (Acte 4, scène 3, MOMUS)
Allez porter ailleurs votre rage et vos voeux : v.653 (Acte 4, scène 4, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Où j'attendais votre âme. v.660 (Acte 4, scène 4, LA FOLIE)
Que vos plaisirs soient votre hommage, v.674 (Acte 4, scène 5, JUPITER, VÉNUS)
Folâtrez, folâtrez, rien ne doit vous contraindre. v.701 (Acte 4, scène 5, LE CARNAVAL)

AMADIS DE GRÈCE (1752)

Mais on ne lui doit plus ce titre glorieux, v.6 (Prologue, scène 1, ZIRPHÉE)
D'autres exploits vont embellir ces lieux. v.8 (Prologue, scène 1, ZIRPH?E)
En vain tout l'Univers s'arme contre sa gloire, v.24 (Prologue, scène 1, ZIRENE)
En vain tout l'Univers s'arme contre sa gloire, v.29 (Prologue, scène 1, LE CHOEUR)
D'un illustre vainqueur qui ne cède qu'à lui. v.53 (Prologue, scène 1, ZIRPHÉE)
Peuvent-ils trouver d'autres charmes ? v.79 (Acte 1, scène 1, AMADIS)
Qu'il est doux d'accroître sa gloire v.83 (Acte 1, scène 1, AMADIS)
Demeurez. Attendez, pour cacher notre fuite, v.87 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE DE THRACE)
À quel Astre la nuit cède-t-elle ces lieux ! v.102 (Acte 1, scène 2, AMADIS)
D'être encore aux lieux où je suis. v.150 (Acte 1, scène 4, MÉLISSE)
Quand je suis sous les lois d'une autre ? v.160 (Acte 1, scène 4, AMADIS)
Ne serait pas digne du vôtre. v.162 (Acte 1, scène 4, AMADIS)
Va périr pour d'autres appas. v.180 (Acte 1, scène 4, MÉLISSE)
Que des monstres sur toi la rage se signale, v.181 (Acte 1, scène 4, M?LISSE)
Que les monstres qu'il va braver. v.190 (Acte 1, scène 5, MÉLISSE)
Les monstres, les géants peuvent être défaits v.195 (Acte 1, scène 5, M?LISSE)
Cent monstres vainement m'ont opposé leur rage, v.199 (Acte 2, scène 1, AMADIS)
Cher Prince, sois heureux autant que je vais l'être, v.213 (Acte 2, scène 1, AMADIS)
Que les miens pourront croître. v.216 (Acte 2, scène 1, AMADIS)
Traître, perfide Ami, quelle rage te guide ? v.231 (Acte 2, scène 1, AMADIS)
Ton sang me fut trop cher pour y tremper mes mains ; v.237 (Acte 2, scène 1, AMADIS)
Mais pourquoi mon amour craindrait-il de paraître ? v.263 (Acte 2, scène 3, NIQUÉE)
D'une flamme qu'elle a fait naître. v.266 (Acte 2, scène 3, NIQU?E)
Cédons-nous l'un à l'autre une douce victoire, v.275 (Acte 2, scène 3, NIQUÉE, AMADIS)
Votre amour fait toute ma gloire, v.277 (Acte 2, scène 3, NIQU?E, AMADIS)
Célébrez l'ardeur de notre âme. v.282 (Acte 2, scène 3, NIQUÉE)
Tremble, Amadis , tu vois ce qui m'amène, v.303 (Acte 2, scène 4, MÉLISSE)
Va, porte en d'autres lieux tes cris et tes soupirs. v.309 (Acte 2, scène 4, MÉLISSE)
Votre Princesse est infidèle. v.352 (Acte 3, scène 2, MÉLISSE)
Pour qui je fus rebelle à tous les autres charmes v.363 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Tous mes malheurs sont votre ouvrage. v.398 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
N'osez-vous dans mon sang consommer votre rage ? v.400 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Et vous de mes fureurs, Ministres redoutables, v.411 (Acte 3, scène 2, MÉLISSE)
Faites naître en ces lieux des monstres effroyables, v.413 (Acte 3, scène 2, M?LISSE)
Tremble, Amadis, crains la mort, crains les fers : v.420 (Acte 3, scène 2, CHOEUR DE MAGICIENS)
Sont les essais de notre rage. v.423 (Acte 3, scène 2, CHOEUR DE MAGICIENS)
Tremble, Amadis, crains la mort, crains les fers : v.426 (Acte 3, scène 2, LE CHOEUR)
Sont les essais de notre rage. v.429 (Acte 3, scène 2, LE CHOEUR)
Quoi ! Devant la Princesse Amadis va paraître ? v.442 (Acte 4, scène 1, LE PRINCE DE THRACE)
Ne craignez rien ; ses yeux doivent le méconnaître. v.443 (Acte 4, scène 1, MÉLISSE)
Mélisse cède à notre amour ; v.461 (Acte 4, scène 3, NIQUÉE)
Va par son ordre encor célébrer notre chaîne. v.464 (Acte 4, scène 3, NIQU?E)
Et votre coeur seul s'y refuse ! v.468 (Acte 4, scène 3, NIQU?E)
Non, votre coeur pour moi n'est pas assez épris. v.477 (Acte 4, scène 3, LE PRINCE DE THRACE)
La gloire seule allume votre flamme : v.478 (Acte 4, scène 3, LE PRINCE DE THRACE)
Épuisez sur moi seul votre haine implacable. v.553 (Acte 5, scène 2, AMADIS)
Si notre amour a pu vous offenser, v.554 (Acte 5, scène 2, NIQUÉE, AMADIS)
Quand je tremble pour ma Princesse ? v.562 (Acte 5, scène 2, AMADIS)
Songez que notre amour a prévenu le vôtre. v.582 (Acte 5, scène 2, AMADIS)
D'avoir été faits l'un pour l'autre ? v.584 (Acte 5, scène 2, AMADIS)
Protègent contre toi ces fidèles amants, v.606 (Acte 5, scène 3, L'OMBRE)
Non, non, malgré votre secours v.613 (Acte 5, scène 4, MÉLISSE)
Le Ciel et les Enfers, contre moi tout conspire. v.616 (Acte 5, scène 4, M?LISSE)
Votre amour n'a plus rien à craindre ; v.637 (Acte 5, scène 5, ZIRPHÉE)

SCANDERBERG (1735)

Je ne saurais être sensible, v.7 (Prologue, scène 1, POLIMNIE)
Non, je voudrais en vain répondre à votre attente v.12 (Prologue, scène 2, MELPOMÈNE)
Dans le projet que j'entreprends. v.13 (Prologue, scène 2, MELPOM?NE)
J'obscurcis le soleil, je fais trembler le terre ; v.17 (Prologue, scène 2, LA MAGIE)
Anime notre lyre ! v.40 (Prologue, scène 2, MELPOMÈNE)
C'est se soumettre à mon empire. v.46 (Prologue, scène 3, L'AMOUR)
Pour seconder notre entreprise, v.49 (Prologue, scène 3, L'AMOUR)
Votre hommage v.57 (Prologue, scène 3, L'AMOUR)
Unisson nous pour notre gloire, v.84 (Prologue, scène 3, LE CHOEUR)
J'ai su hâter l'instant de votre liberté. v.91 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Maître de ces jardins, puis tout entreprendre ; v.97 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Vous pouviez borner votre gloire v.108 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Mais votre coeur dédaigne une douce victoire, v.110 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
L'Amour ! Eh ! Quel objet a su toucher votre âme ? v.119 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Cette illustre Princesse à qui le sang me lie, v.123 (Acte 2, scène 1, SCANDERBERG)
Toi qui pour ce héros fit naître mon ardeur, v.145 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
D'une vaine fierté je ne suis plus maîtresse, v.148 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Et mes malheurs et votre gloire v.159 (Acte 2, scène 3, SCANDERBERG)
Non, Prince, je ne puis vouloir votre trépas, v.171 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Ingrat, sois plus sensible et tremblex moins pour moi. v.177 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Que m'inspire votre présence ! v.192 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Claires eaux, que votre murmure v.231 (Acte 2, scène 4, ROXANE)
Votre père gémit sous les lois du vainqueur ; v.256 (Acte 3, scène 1, SCANDERBERG)
À ce prix, il m'est doux de régner dans votre âme. v.283 (Acte 3, scène 2, SERVILIE)
Tu dois être flatté d'apprendre d'elle-même v.303 (Acte 3, scène 3, AMURAT)
Ne devrai-je qu'à lui le don de votre main, v.320 (Acte 3, scène 3, AMURAT)
Et ne puis-je espérer de régner dans votre âme ? v.321 (Acte 3, scène 3, AMURAT)
Mais, malgré cette ardeur que vous faites paraître, v.329 (Acte 3, scène 3, SERVILIE)
Dans un hymen si prompt je vois l'ordre d'un Maître v.330 (Acte 3, scène 3, SERVILIE)
Fasse enfin dans mon coeur naître un juste retour. v.334 (Acte 3, scène 3, SERVILIE)
Qu'au gré de vos désirs notre hymen se diffère, v.336 (Acte 3, scène 3, AMURAT)
Si tu peux l'être autant que moi. v.343 (Acte 3, scène 3, AMURAT)
À combler votre bonheur. v.387 (Acte 3, scène 4, UNE GRECQUE)
Tremble Amurat ; la mort va punir ton forfait. v.409 (Acte 4, scène 1, ROXANE)
Je regrette des voeux dont un autre est l'objet, v.411 (Acte 4, scène 1, ROXANE)
Le Vizir sert votre vengeance ! v.440 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
L'Amour a fait naître pour vous, v.450 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Contre des jours si chers déjà me semble armé. v.454 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Non, vous ne mourrez point ; qu'il soit notre victime. v.457 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Le choix d'une rivale arme votre colère. v.463 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Non ! Plutôt d'Amurat j'entreprends la défense. v.471 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Il commande aux sujets dont je suis né le maître. v.474 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Mais s'il faut me venger en traître, v.476 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Que votre haine lui prépare. v.481 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Nous perdons notre horreur pour elle. v.487 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Tremblez, du moins, si vous m'aimez ; v.488 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
En vain contre Amurat mille bras sont armés... v.489 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Contre une trahison si noire v.501 (Acte 4, scène 3, SCANDERBERG)
Rebelle ! c'est à toi de trembler pour ta vie. v.514 (Acte 4, scène 4, SCANDERBERG)
Frappez, consommez votre audace, v.519 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Un si prompt repentir naît de votre impuissance. v.524 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Tout votre sang versé par mon ordre, à mes yeux, v.525 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
À peine suffirait pour laver votre offense. v.526 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Tu tiens dans tes mains notre sort. v.527 (Acte 4, scène 5, LE CHOEUR)
Méritez votre grâce en servant ma fureur ; v.531 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Par la mort du Vizir expiez votre crime. v.532 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Sous ses lois, fais trembler la terre. v.550 (Acte 4, scène 5, L'AGA DES JANISSAIRES)
Sous ses lois, fais trembler la terre. v.552 (Acte 4, scène 5, LE CHOEUR)
Contre un Vainqueur cruel je n'ose murmurer ; v.558 (Acte 5, scène 1, SERVILIE)
Mes yeux même, mes yeux, craignent de rencontrer v.561 (Acte 5, scène 1, SERVILIE)
Le sort est-il toujours conjuré contre nous ? v.576 (Acte 5, scène 2, SERVILIE)
Cette nuit-même, Osman répond de notre fuite. v.577 (Acte 5, scène 2, SCANDERBERG)
De les voir s'adresser à quelque autre que vous. v.581 (Acte 5, scène 2, SCANDERBERG)
Cachons lui notre intelligence, v.584 (Acte 5, scène 2, SERVILIE)
Être heureux que par vos plaisirs, v.589 (Acte 5, scène 2, SERVILIE)
Pardonnez à notre constance. v.599 (Acte 5, scène 3, SCANDERBERG)
Je me livre à votre courroux : v.608 (Acte 5, scène 3, SCANDERBERG)
Maître de son secret, je suspendrai ses coups ; v.629 (Acte 5, scène 4, SCANDERBERG)
De trembler pour ce que l'on aime ! v.632 (Acte 5, scène 4, SERVILIE)
Vous dont le destin m'a fait maître, v.638 (Acte 5, scène 5, AMURAT)
Des peuples qui vous ont vu naître : v.640 (Acte 5, scène 5, AMURAT)
Mais toujours notre choix v.651 (Acte 5, scène 5, DEUX SCYTHES)
Prévient ses traits pour notre hommage, v.652 (Acte 5, scène 5, DEUX SCYTHES)
Peut-il être pour un coeur v.654 (Acte 5, scène 5, DEUX SCYTHES)
Votre secret échappe, et je vous ai surpris. v.687 (Acte 5, scène 4, AMURAT)
Tremblez vous recevrez le prix v.688 (Acte 5, scène 4, AMURAT)
De l'espoir de votre bonheur. v.725 (Acte 6, scène 2, AMURAT)
Elle vient ; à l'envi marquez-lui votre zèle. v.726 (Acte 6, scène 2, AMURAT)
Que votre règne soit pour nous v.728 (Acte 6, scène 3, LE CHOEUR)
Qu'un autre soin partage votre zèle. v.767 (Acte 6, scène 5, AMURAT)
Quoi ! Tu m'oses braver ! Tout tremble devant moi. v.776 (Acte 6, scène 5, AMURAT)
Princesse, votre aveu décide v.779 (Acte 6, scène 5, AMURAT)
Assurez votre gloire et ma félicité. v.780 (Acte 6, scène 5, AMURAT)
Laissez en paix un coeur qui ne peut être à vous. v.785 (Acte 6, scène 5, SERVILIE)
Le don de votre main suspendait seul les coups v.787 (Acte 6, scène 5, AMURAT)
Que contre mon rival préparez ma vengeance. v.788 (Acte 6, scène 5, AMURAT)
Contre votre repos j'armai la jalousie. v.812 (Acte 6, scène 6, SERVILIE)
Loin de moi, va pleurer notre commun malheur, v.819 (Acte 6, scène 6, AMURAT)

INÈS DE CASTRO (1723)

D'être ici le témoin du bruit de ses exploits. v.2 (Acte 1, scène 1, ALPHONSE)
Vôtre valeur, Henrique, eût part à sa victoire. v.4 (Acte 1, scène 1, ALPHONSE)
La gloire dont l'infant couvre votre famille, v.7 (Acte 1, scène 2, L_AMBASSADEUR)
De voir croître leur nom toujours plus redouté ; v.17 (Acte 1, scène 2, L, AMBASSADEUR)
Dès que vous remettez votre foudre en ses mains, v.25 (Acte 1, scène 2, L, AMBASSADEUR)
Avec vos intérêts les nôtres sont liés : v.29 (Acte 1, scène 2, L, AMBASSADEUR)
La victoire est commune entre des alliés ; v.30 (Acte 1, scène 2, L, AMBASSADEUR)
Votre roi m'est uni du plus étroit lien : v.33 (Acte 1, scène 2, ALPHONSE)
Peut-être que le jour qui m'unit avec vous, v.49 (Acte 1, scène 3, ALPHONSE)
Que pour s'en montrer mieux digne d'elle et de moi. v.54 (Acte 1, scène 3, ALPHONSE)
Je prévis qu'il ferait ce qu'autre fois je fis, v.57 (Acte 1, scène 3, ALPHONSE)
Le reste tremble encore au fond de ses déserts. v.62 (Acte 1, scène 3, ALPHONSE)
Seigneur ; de votre fils la longue indifférence v.72 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
Et, de tout autre soin à ses yeux agité, v.77 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
L'auguste autorité sur notre front empreinte v.103 (Acte 1, scène 3, ALPHONSE)
N'a point à balancer entre un fils et sa foi. v.110 (Acte 1, scène 3, ALPHONSE)
Paraissent n'y chercher, n'y rencontrer qu'Inès. v.122 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Jusques dans ses secrets je ne pénètre pas ; v.137 (Acte 1, scène 4, INÈS)
Montrez-moi donc le coeur que ma main doit frapper. v.146 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Celle qui de dom Pedre entretiendrait la flamme, v.148 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Si je n'avais encor à trembler que pour moi ! v.166 (Acte 1, scène 5, INÈS)
Cher prince, c'en est fait ; votre épouse est perdue. v.172 (Acte 1, scène 6, INÈS)
Calmez-vous chère Inès ; votre frayeur m'offense. v.187 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Vous le savez : l'espoir d'être un jour couronnée, v.195 (Acte 1, scène 6, INÈS)
Ne m'a point fait chercher votre auguste hyménée ; v.196 (Acte 1, scène 6, IN?S)
D'avoir, jusqu'à ma mort, fait tout vôtre bonheur. v.210 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Tout autre nom s'efface auprès des noms sacrez v.217 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Qui nous ont pour jamais l'un à l'autre livrez. v.218 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Je puis contre la reine écouter ma colère ; v.219 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Si je tremblais pour vous... v.221 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Vous conjurer ensemble et de m'être fidèle, v.227 (Acte 1, scène 6, INÈS)
Qu'il n'est point de devoir contre ce que j'adore. v.232 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
De notre saint hymen les gages précieux. v.238 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Dissipons les soupçons de nôtre intelligence ; v.256 (Acte 1, scène 6, INÈS)
Que me promettre, hélas ! De ma faible raison, v.261 (Acte 1, scène 6, INÈS)
Moi qui ne puis sans trouble entendre votre nom ! v.262 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Nous nous disons peut-être un éternel adieu. v.266 (Acte 1, scène 6, INÈS)
Ne vaudrait-il pas mieux que de notre hyménée, v.271 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Et mon frère chargea votre seule prudence v.279 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
D'unir, pour leur bonheur, votre fils et Constance. v.280 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Entre vos intérêts, daignez compter le mien. v.290 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Que vous trouviez sa main indigne de la vôtre ? v.299 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Pourquoi craindre l'instant qui vous joint l'un à l'autre ? v.300 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Un objet de mépris ! Hélas, s'il pouvait l'être ! v.303 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Si moins digne, Seigneur, du sang qui l'a fait naître, v.304 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Souffrez qu'en votre sein j'épanche mon secret : v.309 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Quel autre confident plus tendre et plus discret, v.310 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
L'aspect de votre fils troubla d'abord mon âme. v.312 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Mon fils à tant d'attraits ne peut être insensible ; v.340 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Et de vôtre bonheur reposez-vous sur moi. v.346 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Signalent cet hymen entre deux rois juré, v.349 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Il vous faille avertir, ordonner d'être heureux. v.358 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Se dissimule encor votre témérité. v.366 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
De dérober vôtre âme au pouvoir de Constance, v.368 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Et, pour être achevez, veuillent l'aveu des coeurs ? v.374 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
C'est par d'autres ressorts que le ciel les prépare. v.376 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
L'intérêt des états donne seul notre foi. v.378 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Et je ne croirai point commettre un attentat, v.386 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Et l'honneur d'être né si près du rang suprême, v.391 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Déjà de mes discours frémit votre courroux : v.393 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Votre foi m'engagea, me promit à sa soeur. v.398 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Bravez des ennemis que vous pouvez abattre. v.435 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Quand on est sûr de vaincre, a-t-on peur de combattre ? v.436 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Qu'afin qu'à notre gré la folle tyrrannie, v.455 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
À quel titre sacré nous y sommes assis : v.458 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Nous ne sommes pas tant leurs maîtres que leurs pères ; v.460 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Ne connaître d'honneur que dans leur avantage : v.463 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Et quand dans ses excès nôtre aveugle courage v.464 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Et sans plus me lasser de vôtre résistance, v.471 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Il me couvre de honte, et vous et votre fille ; v.480 (Acte 2, scène 3, ALPHONSE)
N'est-ce point qu'à ce crime un autre l'enhardisse ? v.483 (Acte 2, scène 3, ALPHONSE)
Ils se sont en secret long-temps entretenus ; v.498 (Acte 2, scène 3, LA REINE)
Mais, laissez sur moi seul tomber vôtre courroux. v.505 (Acte 2, scène 3, DON PEDRE)
Peut-être, si j'en crois la fureur qui me guide, v.527 (Acte 2, scène 5, LA REINE)
Tremblez : plus de vos coeurs je vois l'intelligence, v.531 (Acte 2, scène 5, LA REINE)
Plus votre frayeur même en hâte la vengeance. v.532 (Acte 2, scène 5, LA REINE)
Eh ! Peut-elle, Seigneur, n'être pas criminelle ? v.551 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
Soigneuse de l'accroître, ardente à le nourrir, v.554 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
Va de ses entretiens goûter l'appas perfide. v.560 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
Il est d'autres moyens que je dois éprouver. v.581 (Acte 3, scène 1, ALPHONSE)
Fais qu'à ses feux éteints succèdent d'autres feux ; v.590 (Acte 3, scène 2, ALPHONSE)
Venez, venez, Inès. Peut-être attendez-vous, v.593 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Contre le Portugal vous armez la Castille, v.596 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Ni qu'en entretenant ses transports furieux, v.601 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Vôtre coeur ait eu part au crime de vos yeux ; v.602 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Je ne punirai point des malheurs, que peut-être, v.603 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Malgré votre vertu vos charmes ont fait naître : v.604 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Du sceptre que je porte ils ont accru la gloire : v.612 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Votre sang illustré par cent fameux exploits, v.613 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Sur tout à votre aïeul, guide de mon enfance, v.615 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Plus vous voyez combien je craindrais d'être ingrat. v.622 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Et vous même jugez par d'illustres effets v.625 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
S'ils ont versé leur sang, il était votre bien ; v.637 (Acte 3, scène 3, INÈS)
Mais si trop généreux, votre bonté suprême v.639 (Acte 3, scène 3, IN?S)
De me laisser toujours maîtresse de mon coeur. v.642 (Acte 3, scène 3, IN?S)
Et c'est contre son roi, vous, qui le soulevez ? v.650 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Ne brûle d'être roi que pour vous faire reine. v.656 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Au mépris de la loi, peut-être l'oubliant, v.658 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Votre amour n'aurait point réglé sa destinée, v.659 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Téméraire, tremblez ; n'espérez point de grâce ; v.663 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
L'opprobre et le supplice expieraient votre audace. v.664 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
C'est vôtre même aïeul dont je vante la foi, v.665 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Voilà donc vôtre ouvrage, v.687 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
L'un et l'autre péril accable mes esprits ; v.693 (Acte 3, scène 5, INÈS)
La haine n'entre point dans ces détails frivoles ; v.704 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
Puissiez-vous l'un et l'autre en être la victime. v.708 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
Je puis, ma chère Inès, dérober vôtre vie ; v.712 (Acte 3, scène 6, DON PEDRE)
Pour mes malheureux jours trahir vôtre devoir ? v.714 (Acte 3, scène 6, INÈS)
Votre crime aujourd'hui m'éclaire sur le mien. v.718 (Acte 3, scène 6, IN?S)
J'en frémis ; dans quel sein l'auriez-vous donc trempée ! v.720 (Acte 3, scène 6, IN?S)
Je me suis jusqu'à vous ouvert d'autres chemins ; v.726 (Acte 3, scène 6, DON PEDRE)
Allez à votre père, et courez le défendre. v.732 (Acte 3, scène 6, INÈS)
Allez mettre à ses pieds ce fer séditieux ; v.733 (Acte 3, scène 6, IN?S)
Méritez votre grâce, ou mourez à ses yeux. v.734 (Acte 3, scène 6, IN?S)
Laissez-moi mettre au moins vos jours en sûreté. v.737 (Acte 3, scène 6, DON PEDRE)
Reprenez, s'il se peut, toute votre innocence. v.744 (Acte 3, scène 6, INÈS)
Je demeure en ces lieux, et j'y suis votre otage. v.748 (Acte 3, scène 6, IN?S)
Est-ce à vous de trembler pour ma vie, v.756 (Acte 3, scène 7, DON PEDRE)
Traître, rend ton épée, ou m'en perce le sein. v.769 (Acte 3, scène 8, ALPHONSE)
Je ne connais que trop votre coeur inflexible ; v.772 (Acte 3, scène 8, DON PEDRE)
Disposez-en, Seigneur : mais que votre vengeance v.775 (Acte 3, scène 8, DON PEDRE)
Tu devrais t'occuper d'autres soins. v.785 (Acte 3, scène 8, ALPHONSE)
Rentrez avec Inès. v.805 (Acte 3, scène 8, ALPHONSE)
Dans un digne héritier je me voyais renaître : v.819 (Acte 4, scène 1, ALPHONSE)
Je croyais à mon peuple élever un bon maître ; v.820 (Acte 4, scène 1, ALPHONSE)
Mais de quoi m'entretiens-je ? Et que prétends-je faire ? v.839 (Acte 4, scène 1, ALPHONSE)
Au mépris de mon rang ne veux-je être que père ? v.840 (Acte 4, scène 1, ALPHONSE)
Vous pouvez cependant mériter votre grâce. v.851 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Connaissez votre fils, Seigneur : malgré son crime, v.863 (Acte 4, scène 2, DON PEDRE)
Vous rougiriez pour moi, s'ils me faisaient trembler. v.866 (Acte 4, scène 2, DON PEDRE)
Un ennemi mortel contre moi conjuré, v.874 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Faites entrer les grands ; et vous, Prince, sortez. v.882 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Que la seule justice ici soit la maîtresse. v.888 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Je vous ai pour Inès fait connaître mon coeur. v.902 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Peut-être, sans l'amour dont elle est prévenue, v.903 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Consultez seulement votre propre clémence. v.907 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Pardonnez mes transports ; mais c'est mettre en balance v.911 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Et si vôtre grand nom doit s'accroître ou tomber. v.914 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Eh ! Quel autre après vous en soutiendrait la gloire ? v.915 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Auraient à tous ses coups reconnu votre fils ; v.918 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Immoler sans pitié votre propre famille ? v.924 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Et lui promet partout des sceptres et des coeurs. v.930 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Mérite-t-il la mort d'avoir tremblé pour elle ! v.936 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Mais dussai-je en mourir, sauvez votre soutien ; v.941 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Votre coeur à sa gloire immole son repos ; v.945 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Entre dom Pedre et moi partageraient leurs pleurs. v.950 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
C'est ma sincérité. Vous l'allez donc connaître. v.963 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Dans la peur d'être ingrat, je ne serai point traître. v.964 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Sans le sang criminel ne peut être apaisée ; v.968 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Sont ceux de vôtre rang, et ne sont point à vous. v.970 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Ma parole tremblante à chaque instant s'arrête. v.983 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Je ne souhaite plus d'autre prix que la mort. v.1014 (Acte 4, scène 4, ALPHONSE)
Vous avez condamné votre fils ! ... v.1018 (Acte 4, scène 5, CONSTANCE)
Je dois l'entretenir par l'ordre de la Reine. v.1036 (Acte 4, scène 7, CONSTANCE)
Je ne connais encor d'autre bien que sa vie. v.1044 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Mais quel faible secours contre un roi si sévère ! v.1047 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Si pour le mieux servir, votre amour vous éclaire, v.1048 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Le prince ne vous doit paraître qu'un ingrat ; v.1057 (Acte 4, scène 8, INÈS)
Et sans autre intérêt que de le conserver. v.1062 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
La reine arrêterait ce que j'ose entreprendre. v.1067 (Acte 4, scène 8, INÈS)
Je sauverai le prince ; et peut-être pour vous. v.1070 (Acte 4, scène 8, IN?S)
Rentrez. Je vais au roi faire parler mes larmes ; v.1075 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Puisse aujourd'hui le ciel vous prêter d'autres armes. v.1076 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Ma fille, et vous semblez craindre d'être vengée ! v.1080 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Quand Lisbonne avec vous a reçu votre fille, v.1091 (Acte 5, scène 1, CONSTANCE)
Et comment d'un autre oeil verrais-je l'inhumain, v.1109 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
C'est un monstre odieux trop digne de ma rage. v.1112 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
C'est par pitié pour vous que je m'arme contre eux. v.1130 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Faut-il que vôtre amour aigrisse mes alarmes ! v.1131 (Acte 5, scène 1, CONSTANCE)
À ces titres, Seigneur, votre fils ne l'est pas. v.1154 (Acte 5, scène 4, INÈS)
Il n'a point attenté contre son souverain. v.1158 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Que sur la vérité votre bouche prononce, v.1164 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Ces crimes qu'aujourd'hui poursuit votre courroux v.1165 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Mon fils est votre époux ! Ciel, que viens-je d'entendre ! v.1167 (Acte 5, scène 4, ALPHONSE)
Mais aux vôtres, Seigneur, je suis une rebelle v.1184 (Acte 5, scène 4, INÈS)
Sur qui ne peut trop tôt tomber votre courroux, v.1185 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Rebelle, votre crime est tout ce que je vois ; v.1193 (Acte 5, scène 4, ALPHONSE)
Ils ignorent le sang dont le ciel les fit naître : v.1199 (Acte 5, scène 5, INÈS)
Par l'arrêt de leur mort faites-les reconnaître : v.1200 (Acte 5, scène 5, IN?S)
Consommez votre ouvrage ; et que les mêmes coups v.1201 (Acte 5, scène 5, IN?S)
Tous deux à votre trône ont des droits solennels. v.1205 (Acte 5, scène 5, INÈS)
D'un oeil compatissant, regardez l'un et l'autre ; v.1207 (Acte 5, scène 5, IN?S)
N'y voyez point mon sang, n'y voyez que le vôtre. v.1208 (Acte 5, scène 5, IN?S)
La grâce d'un héros, leur père et votre fils. v.1210 (Acte 5, scène 5, IN?S)
Me font déjà goûter les fruits de votre grâce : v.1224 (Acte 5, scène 5, ALPHONSE)
Hélas ! Seigneur, voilà ce qu'a craint votre fils. v.1234 (Acte 5, scène 5, INÈS)
Je me vois votre épouse avec l'aveu d'un père ; v.1247 (Acte 5, scène 6, INÈS)
Votre mort ! Que deviens-je, à ces tristes accents ! v.1249 (Acte 5, scène 6, DON PEDRE)
Que j'expire à vos pieds ; et qu'unis l'un à l'autre, v.1255 (Acte 5, scène 6, DON PEDRE)
Mon âme se confonde encore avec la vôtre. v.1256 (Acte 5, scène 6, DON PEDRE)
Plus heureuse que moi... consolez votre père ! v.1263 (Acte 5, scène 6, INÈS)

OMPHALE (1751)

Que votre Printemps. v.26 (Prologue, scène 1, LA SECONDE GRÂCE)
Des Antres d'Éole v.31 (Prologue, scène 1, LA PREMIÈRE GRÂCE)
Et ne fais naître de désirs v.35 (Prologue, scène 1, LA PREMIÈRE GRÂCE)
Allez servir notre courroux. v.54 (Prologue, scène 1, L'AMOUR)
Lancez, lancez vos traits, signalez votre gloire ; v.55 (Prologue, scène 1, LA SECONDE GRÂCE)
Lancez, lancez vos traits, signalez votre gloire, v.59 (Prologue, scène 1, LE CHOEUR)
Lancez, lancez vos traits, signalez votre gloire. v.67 (Prologue, scène 1, LA PREMIÈRE GRÂCE)
Lancez,lancez vos traits, signalez votre gloire ; v.68 (Prologue, scène 1, LE CHOEUR)
Votre coeur laisse encore échapper des soupirs: v.103 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Quel autre bien fait naître vos désirs ? v.105 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
J'ai sauvé par la mort d'un monstre furieux v.110 (Acte 1, scène 3, ALCIDE)
Ah ! Vous aimez votre faiblesse. v.120 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Si vous défendiez votre coeur, v.121 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
L'Amour ne s'en rendrait pas maître ; v.122 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Si vous ne craigniez pas de l'être. v.124 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Et l'Enfer contre Omphale, armé pour l'accabler. v.138 (Acte 1, scène 3, ALCIDE)
La Reine vient, et nous voyons paraître v.147 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Les Ministres sacrés du Dieu qui vous fit naître. v.148 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Belle Reine, votre présence v.151 (Acte 1, scène 4, ALCIDE)
Un monstre sur mon peuple exerçait sa fureur, v.155 (Acte 1, scène 4, OMPHALE)
Votre bras redoutable en a pris la vengeance. v.156 (Acte 1, scène 4, OMPHALE)
Votre gloire et sa délivrance. v.162 (Acte 1, scène 4, OMPHALE)
Les serpents étouffés, les monstres abattus v.169 (Acte 1, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Votre foudre vengeur est moins fort que son bras. v.178 (Acte 1, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Les Théâtres de son courage, v.184 (Acte 1, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Déjà vous m'entendez, vous pénétrez mon feu ; v.196 (Acte 1, scène 4, ALCIDE)
Mon coeur contre l'Amour se défendrait encore, v.200 (Acte 1, scène 4, ALCIDE)
Et du Monstre vaincu la dépouille sanglante. v.205 (Acte 1, scène 4, OMPHALE)
Rien ne manque à votre victoire ; v.209 (Acte 2, scène 1, CÉPHISE)
Qu'il doit vous être doux de régner dans un coeur v.210 (Acte 2, scène 1, C?PHISE)
Qu'il partage votre couronne ; v.213 (Acte 2, scène 1, DORIS)
Les chaînes de l'Hymen doivent être le prix v.214 (Acte 2, scène 1, DORIS)
Eh ! Quel autre Mortel a su plaire à vos yeux ? v.222 (Acte 2, scène 1, CÉPHISE, DORIS)
Attira la fureur d'un monstre redoutable, v.224 (Acte 2, scène 1, OMPHALE)
Iphis ignore encor l'amour qu'il a fait naître. v.233 (Acte 2, scène 1, OMPHALE)
Mais c'est lui que je vois paraître. v.234 (Acte 2, scène 1, OMPHALE)
Jouissez de votre conquête, v.237 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Un autre a prévenu ce Héros dans mon coeur. v.244 (Acte 2, scène 2, OMPHALE)
Et quel est cet Amant que votre coeur préfère ? v.246 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Pour votre gloire et son bonheur. v.263 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Le garant de votre vengeance. v.287 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Chantez votre Reine ; v.305 (Acte 2, scène 3, ALCIDE)
Non votre liberté v.314 (Acte 2, scène 3, LE THÉBAIN, LA THÉBAINE)
Votre aimable Reine, v.320 (Acte 2, scène 3, ALCIDE)
De votre Vainqueur. v.325 (Acte 2, scène 3, ALCIDE)
Le Ciel contre nous se déchaîne, v.344 (Acte 2, scène 3, OMPHALE, ALCIDE, LE CHOEUR)
Ce que n'a pu votre tendresse. v.364 (Acte 2, scène 4, ALCIDE)
Les Plaisirs m'appelaient sous votre aimable loi v.379 (Acte 2, scène 4, ALCIDE)
Faut-il que notre coeur ne nous puisse obéir ? v.390 (Acte 2, scène 4, ARGINE)
On fait servir mes feux au triomphe d'une autre, v.403 (Acte 2, scène 5, ARGINE)
Sur la rigueur d'Alcide il faut régler la vôtre. v.406 (Acte 2, scène 5, ARGINE)
Le hait elle !... Je veux pénétrer dans son coeur, v.410 (Acte 2, scène 5, ARGINE)
Contre Alcide mon art a trop peu de puissance, v.444 (Acte 3, scène 3, ARGINE)
Enchantez-la pour être ma victime. v.449 (Acte 3, scène 3, ARGINE)
Que vos jeux, que vos chants signalent votre zèle. v.460 (Acte 3, scène 4, CÉPHISE)
Le plus fier doit être v.466 (Acte 3, scène 4, CÉPHISE)
L'Amour nous fait naître, v.468 (Acte 3, scène 4, C?PHISE)
C'est assez, votre zèle a brillé dans ces Jeux ; v.488 (Acte 3, scène 4, OMPHALE)
Que ne puis-je être aimée, et mourir sous ses coups ? v.499 (Acte 3, scène 5, ARGINE)
C'est contre moi qu'il faut armer votre courroux ; v.510 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Que cent monstres affreux évoqués par vos charmes v.511 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Contre mes jours se réunissent tous ; v.512 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Mais, Barbare, l'Amour te fait une autre loi. v.520 (Acte 3, scène 6, ARGINE)
Ciel ! Quelle est votre rage ! v.536 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Tu frémis, c'est l'Amour qui t'apprend à trembler. v.537 (Acte 3, scène 6, ARGINE)
Tremblez : dans un coeur qu'on outrage v.557 (Acte 3, scène 6, ALCIDE, ARGINE)
L'Amour au désespoir fait naître la fureur. v.558 (Acte 3, scène 6, ALCIDE, ARGINE)
Tremblez : dans un coeur qu'on outrage, v.564 (Acte 3, scène 6, ALCIDE, ARGINE)
L'Amour au désespoir fait naître la fureur. v.565 (Acte 3, scène 6, ALCIDE, ARGINE)
Un autre a su charmer l'objet qui m'a su plaire v.567 (Acte 4, scène 1, IPHIS)
Contre un rival caché que sert tout ce courroux ? v.587 (Acte 4, scène 2, ALCIDE)
Vous pouvez par votre art découvrir ce qu'elle aime. v.601 (Acte 4, scène 3, ALCIDE)
Va, ne prends point d'autre vengeance v.612 (Acte 4, scène 3, ARGINE)
Répondez à mes cris, marquez-moi votre amour v.647 (Acte 4, scène 4, ARGINE)
Répondez à mes cris, marquez-moi votre amour v.656 (Acte 4, scène 4, ARGINE)
Doivent être unis dès ce jour ! v.675 (Acte 4, scène 5, ALCIDE)
Monstre que j'ai dompté, renais, sors de ta cendre ; v.680 (Acte 4, scène 5, ALCIDE)
Éloigne ce rival ; qu'il brûle pour une autre ; v.707 (Acte 5, scène 1, OMPHALE)
Et qu'ils ne troublent plus le nôtre. v.710 (Acte 5, scène 1, OMPHALE)
Chantez le maître de votre âme. v.714 (Acte 5, scène 2, OMPHALE, LE CHOEUR)
Votre absence est pour moi le seul malheur à craindre, v.737 (Acte 5, scène 3, OMPHALE)
Je sens croître encor mon amour v.743 (Acte 5, scène 3, OMPHALE)
L'aveu de votre ardeur v.747 (Acte 5, scène 3, IPHIS)
L'Amour a dans mes yeux marqué votre victoire. v.753 (Acte 5, scène 3, OMPHALE)
Qu'ils rencontrent la mort, la vengeance et l'horreur, v.765 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Vous soupirez, Dieux ! Quel trouble est le vôtre ! v.774 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Mais ces pleurs, ces soupirs, ce trouble est pour un autre ; v.775 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Iphis d'entre mes bras cherche à se dégager ? v.785 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Non, tu m'es cher encor tout traître et tout perfide, v.794 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Tremble, la foudre est toute prête : v.807 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Moi trembler ! Non, bravons les Dieux et la tempête. v.808 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Aimez-vous, oubliez ma honte et votre peine ; v.825 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Reine, venez montrer aux Peuples de ces lieux v.831 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Le digne souverain que votre amour leur donne. v.832 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Votre main et votre couronne. v.834 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
C'en est trop ; tout mon coeur contre lui se déclare, v.847 (Acte 5, scène 5, ARGINE)

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LES MACHABÉES (1722)

Oui, oui de l'univers je ferai disparaître v.5 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Cette religion que l'erreur a fait naître, v.6 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
De l'insolent mépris des autres nations. v.8 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Votre esprit aveuglé repaît son espérance ? v.14 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
N'ai-je pas de son temple exilé votre dieu ? v.15 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Où vous puissiez encor, lui portant votre offrande, v.17 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Et c'est sur vos autels que notre culte expie v.21 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Des prêtres de Juda le sacrifice impie. v.22 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
De trente mille juifs l'effroyable carnage v.33 (Acte 1, scène 2, SALMONEE)
D'un souffle de sa bouche abattre tes soldats, v.40 (Acte 1, scène 2, SALMONEE)
Entre les noms élus ne comptait plus leur nom. v.64 (Acte 1, scène 2, SALMONEE)
Il reste encor des saints contre tes injustices. v.69 (Acte 1, scène 2, SALMONEE)
Il criera contre toi. Dieu daignera l'entendre ; v.90 (Acte 1, scène 2, SALMONEE)
Peut-être ce qu'il fit pour Abraham fidèle... v.117 (Acte 1, scène 3, THARES)
Moi que vous pénétrez, puis-je vous secourir ? v.140 (Acte 1, scène 3, THARES)
C'est un coeur tout nouveau formé dans votre sein. v.163 (Acte 1, scène 3, THARES)
Vos yeux n'ont plus de pleurs, votre front est serein. v.164 (Acte 1, scène 3, THARES)
Digne d'un autre peuple et d'une autre famille. v.182 (Acte 1, scène 3, SALMONEE)
Il ne suivait alors d'intérêts que les nôtres : v.185 (Acte 1, scène 3, SALMONEE)
Mais il pensa se perdre, en priant pour les autres. v.186 (Acte 1, scène 3, SALMONEE)
Pour étouffer des feux dont notre loi s'offense, v.193 (Acte 1, scène 3, SALMONEE)
Il la laisse après lui maîtresse de l'empire. v.201 (Acte 1, scène 3, SALMONEE)
Ah ! Mon cher Misaël, contre de telles flammes v.209 (Acte 1, scène 3, SALMONEE)
Ne tremblez pas, ma mère ; une faiblesse impie v.217 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Voilà, voilà l'autel de notre sacrifice ; v.254 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Qu'armaient contre ses jours cent tourments inhumains. v.264 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Non moins dignes de Dieu, les autres l'ont suivi. v.271 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Et peut-être plus cher l'ingrat qui m'oubliait. v.335 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Peut-être ne sont-ils que de brillantes fables : v.365 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Tu sais qu'il a pleuré le grand prêtre Onias : v.402 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Sur le traître Andronic il vengea son trépas. v.403 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Il veut être obéi, quoiqu'il puisse coûter ; v.406 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Je tremble. v.412 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Pût à votre pitié se prêter sans horreur ? v.435 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
C'est contre l'Éternel cette audace inhumaine, v.445 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Telle qu'elle est pourtant, voudrez-vous me permettre v.464 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
De vous dire à quel prix je dois encor la mettre ? v.465 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
De vos prêtres impurs ne soit plus le repaire. v.469 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Et que Jérusalem ne soit plus le théâtre v.472 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
De toutes les horreurs qu'inventa l'idolâtre. v.473 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Sous vos lois, s'il le faut, retenez notre État : v.478 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Ministres du Très-haut, quand vous croyez régner, v.494 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
L'un par l'autre à son gré vous frappe et vous châtie. v.501 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Vous même regardez quel sceptre est dans vos mains. v.502 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Un écueil imprévu brise votre grandeur ; v.506 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Peut-être en sa faveur domptera sa fierté ; v.519 (Acte 2, scène 2, ANTIOCHUS)
Non, madame, le mien veut que notre courage v.552 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Dans notre seule foi nous mettions notre appui. v.555 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Dont l'aveu m'attira votre juste courroux, v.562 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Je veux vous irriter, ou contre un téméraire, v.565 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Ou contre un coeur toujours rebelle à vos appas, v.566 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Perdît en t'adorant le titre d'étrangère ; v.581 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Malgré notre penchant voudrait-il détacher v.594 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Ne l'armât contre nous d'une force nouvelle : v.617 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Et même en fléchissant il veut paraître ferme. v.625 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Madame, chaque jour me le fait mieux connaître ; v.628 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Pour calmer mes chagrins, le ciel vous a fait naître ; v.629 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
D'abattre sous mes pieds un monde d'ennemis, v.634 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Il semble à mon orgueil que le sceptre m'échappe, v.645 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Je ne suis plus qu'un homme, et cesse d'être roi. v.647 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Le plus léger chagrin les fait tous disparaître ! v.652 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Je n'en suis pas le maître. v.653 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Des autres passions toute la violence v.656 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
La mort des malheureux que votre bras foudroie v.664 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Votre coeur malgré vous sensible et généreux, v.666 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Que vous ne trouvez point au fonds de votre sein ? v.670 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Il est temps d'être aimé, c'est trop vous faire craindre. v.673 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Connaissez à quel point je m'en sens pénétrer v.678 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Mes tendresses ont dû préparer votre espoir. v.683 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Et par votre pitié modérant mes rigueurs, v.686 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Votre douceur va mettre un frein à ma colère, v.688 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Et vous et votre fils vous êtes sous sa loi. v.711 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Non, dès votre naissance à l'erreur asservie, v.728 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Vous n'avez pas conçu d'autre bien que la vie, v.729 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
D'autres biens, d'autres maux font nos voeux et nos craintes. v.733 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Notre oeil plus éclairé le voit avec mépris. v.735 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Notre coeur expirant ne vous enviera rien. v.743 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Madame vous pleurez, et votre coeur soupire ! v.745 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Mais par votre douleur plus vous m'attendrissez, v.750 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
Oui votre fils vivra, j'ose vous en répondre. v.752 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
Dans ce projet fatal que vous entreprenez. v.755 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Pressez-le de choisir entre vous et la mort : v.759 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Je t'offense à chercher un autre appui que toi. v.767 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Assurez des destins commis à votre foi. v.779 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Répondront dignement à votre confiance. v.781 (Acte 3, scène 5, BARSES)
Va mettre contre lui tes jours en assurance. v.789 (Acte 3, scène 6, ANTIGONE)
Et que le ciel, versant ses clartés dans votre âme, v.804 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Je m'armais contre lui d'une honte rebelle, v.812 (Acte 3, scène 6, ANTIGONE)
Mon entreprise encor ne s'en vît traversée. v.825 (Acte 3, scène 6, ANTIGONE)
Antiochus m'offrant son sceptre avec sa main, v.830 (Acte 3, scène 6, ANTIGONE)
De ta fuite va naître un honneur immortel. v.843 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Des prêtres rassemblés fais sonner la trompette, v.856 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Et de nos fiers tyrans entreprend la défaite. v.857 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Remontrera David en ton ardeur guerrière, v.860 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Tout_à_coup dans mon coeur passe tout votre espoir. v.863 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Et c'est par votre voix le seigneur qui m'appelle. v.865 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Heureux ! Si je pouvais, pour prix de votre foi, v.878 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Nous n'avons plus de temple ; et de superbes maîtres v.896 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Font languir dans les fers nos pontifes, nos prêtres ; v.897 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Sois ici le témoin, le ministre et le dieu. v.899 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Par votre ordre j'allais chercher l'israélite. v.908 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Et, fuyant sur leurs pas, tromper votre colère. v.917 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
J'ai fait partir contre eux ma garde en diligence, v.921 (Acte 4, scène 1, ANTIOCHUS)
Et le traître Barsès ne saurait éviter... v.922 (Acte 4, scène 1, ANTIOCHUS)
Qu'on la fasse venir ; je veux être éclairci ; v.926 (Acte 4, scène 1, ANTIOCHUS)
Et que pour être amant, j'ai cessé d'être roi ? v.935 (Acte 4, scène 2, ANTIOCHUS)
Et qu'elle a craint enfin que de notre hyménée v.944 (Acte 4, scène 2, ANTIOCHUS)
Trop frivoles raisons ! Je veux être obéi. v.946 (Acte 4, scène 2, ANTIOCHUS)
On dédaigne mon sceptre et l'on choisit ses fers. v.959 (Acte 4, scène 3, ANTIOCHUS)
Qu'ils tremblent ; de mes mains c'est en vain qu'ils s'arrachent. v.960 (Acte 4, scène 3, ANTIOCHUS)
Dans les antres profonds dussent-ils se sauver, v.962 (Acte 4, scène 3, ANTIOCHUS)
Votre fils fuit avec Antigone. v.965 (Acte 4, scène 4, ANTIOCHUS)
Tu sais ton impuissance à me faire trembler : v.970 (Acte 4, scène 4, SALMONEE)
Tu perds une maîtresse ; et moi je perds un fils. v.975 (Acte 4, scène 4, SALMONEE)
Pensez-vous que sa fuite imprime à votre front ? v.991 (Acte 4, scène 5, THARES)
Amant de l'idolâtre, il le devient lui-même. v.997 (Acte 4, scène 5, SALMONEE)
L'amour les unit moins peut-être que l'effroi. v.1002 (Acte 4, scène 5, THARES)
L'une fuit pour sa vie, et l'autre pour sa foi. v.1003 (Acte 4, scène 5, THARES)
Puisque la suite enfin peut être légitime ; v.1005 (Acte 4, scène 5, THARES)
À tout autre qu'à lui. v.1006 (Acte 4, scène 5, SALMONEE)
Qu'ils cherchent un asile aux antres de la terre ; v.1009 (Acte 4, scène 5, SALMONEE)
Craigne de laisser vivre un autre Debora. v.1023 (Acte 4, scène 5, SALMONEE)
Plus d'autre bien pour moi, Seigneur, que de mourir. v.1027 (Acte 4, scène 5, SALMONEE)
Sortez ; votre présence irrite mes ennuis. v.1035 (Acte 4, scène 6, ANTIOCHUS)
Les traîtres seraient-ils échappés à ma garde ? v.1037 (Acte 4, scène 6, ANTIOCHUS)
Eh bien ! M'amène-t-on la perfide et le traître ? v.1040 (Acte 4, scène 7, ANTIOCHUS)
Et d'où vient que sans eux je te vois reparaître ? v.1041 (Acte 4, scène 7, ANTIOCHUS)
Un combat ! Contre qui ? v.1046 (Acte 4, scène 7, ANTIOCHUS)
Ne paraissait qu'apprendre à combattre sous lui : v.1071 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
Malgré tous mes efforts elle est votre captive ; v.1080 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
Enchaînés l'un et l'autre on les amène ici. v.1082 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
Après mon sceptre offert, Antigone me brave, v.1088 (Acte 4, scène 8, ANTIOCHUS)
Que je prétende ici fléchir votre courroux ; v.1094 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
De mon coeur dès longtemps Misaël est le maître ; v.1096 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Je brûlais d'un amour que Sion a vu naître ; v.1097 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Au sein de votre cour vous m'avez appelée. v.1100 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
De toutes vos faveurs votre amour m'a comblée. v.1101 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Je voulais votre gloire ; et vous m'êtes témoin v.1107 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Votre orgueil a souillé le succès de vos armes. v.1113 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Et pour lui votre règne est un long homicide. v.1117 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Et dussai-je irriter votre fureur jalouse, v.1128 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Mais pourquoi ces fureurs ? Qu'importe à votre flamme v.1136 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Que d'un autre ou de lui je devienne la femme, v.1137 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Tout idolâtre hymen est interdit pour moi ? v.1139 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Et tu m'apprends toi-même à te faire trembler. v.1155 (Acte 4, scène 8, ANTIOCHUS)
Osez faire aujourd'hui l'essai d'une autre gloire. v.1160 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Remportez sur vous-même une illustre victoire. v.1161 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Faut-il qu'un nom célèbre entre les conquérants v.1162 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Frappez ; que mon trépas soit votre dernier crime. v.1169 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
C'est sur un autre coeur que vengeant mon outrage, v.1176 (Acte 4, scène 8, ANTIOCHUS)
Ne devions-nous, hélas ! être unis qu'un moment ? v.1190 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Et ne suis-je plus roi que pour être bravé ! v.1207 (Acte 4, scène 9, ANTIOCHUS)
D'être, si tu le veux, son juge et son bourreau. v.1223 (Acte 5, scène 1, MISAEL)
Puis-je ici ne pas être infidèle ou barbare ? v.1229 (Acte 5, scène 1, MISAEL)
Ah ! Mon fils ! Je tremble à ton approche. v.1233 (Acte 5, scène 2, SALMONEE)
Et n'être, s'il se peut, ni barbare, ni lâche ; v.1261 (Acte 5, scène 2, MISAEL)
Tout extrême qu'il est, a cessé d'être un crime. v.1265 (Acte 5, scène 2, MISAEL)
À d'autres sentiments tout_à_coup l'amener ? v.1278 (Acte 5, scène 2, MISAEL)
Tremble qu'il ne te laisse achever ton ouvrage. v.1281 (Acte 5, scène 2, SALMONEE)
Crois-tu qu'un autre instant serve à te raffermir ? v.1283 (Acte 5, scène 2, SALMONEE)
Peut-être que sa voix ne te parlera plus. v.1287 (Acte 5, scène 2, SALMONEE)
De la mère et du fils daigne être le soutien, v.1322 (Acte 5, scène 3, SALMONEE)
Dans notre sacrifice immolons tous nos voeux : v.1330 (Acte 5, scène 3, SALMONEE)
C'en est fait ; votre fils consomme son audace. v.1332 (Acte 5, scène 4, ANTIOCHUS)
C'est que votre courroux consente de m'unir v.1346 (Acte 5, scène 4, SALMONEE)
N'ai-je pas comme lui droit à votre colère ? v.1349 (Acte 5, scène 4, SALMONEE)
Sitôt qu'on vous a vu rentrer dans le palais, v.1362 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Votre amour et nos voeux appelaient à l'empire, v.1373 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Et loin de nous montrer un front épouvanté, v.1378 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Ma foi, pour l'un et l'autre, aujourd'hui se signale : v.1388 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Alors selon votre ordre on retient Misaël, v.1394 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
A bientôt par leur mort rempli votre vengeance. v.1401 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Ta rage contre nous a beau se ranimer, v.1407 (Acte 5, scène 5, SALMONEE)
Notre opprobre finit, et ta honte commence. v.1409 (Acte 5, scène 5, SALMONEE)
Dans les murs de Sion rentre victorieux. v.1419 (Acte 5, scène 5, SALMONEE)

LE MAGNIFIQUE (1752)

Il me semble que vous devez en être assez content. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Vous savez de plus, que je suis son tuteur, et que la volonté de ses parents me laisse le maître de disposer de son sort. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
J'attends dès aujourd'hui de Boulogne une personne admirable pour veiller sur une jeune femme, où un de nos amis communs, que j'avais chargé de cette recherche, m'assure que c'est un prodige dans ce genre, et qu'elle a déjà formé trois ou quatre Lucreces dans la Ville qui y ont mis la vertu à la mode. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Nous y prendrons garde ; de plus je veux faire accommoder cette maison à ma fantaisie, et retrancher exactement toutes les vues qu'elle a sur la Place, n'y laisser des fenêtres que sur le jardin, dont je ferai encore élever les murs le plus haut qu'il me sera possible, et c'est pour en être le maître que je veux acheter la maison. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Elle en aura, d'autres, mon frère, car enfin je l'épouse au premier jour, le parti en est pris, et le Contrat est déjà dressé chez mon notaire. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Vous concluez ce mariage contre mon avis, mais malgré vos duègnes et vos barricades, vous ne tarderez guère à vous en repentir. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Votre front ne payera pas pour le mien. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Je vous avoue que j'ai bien de la peine à m'en empêcher et telle est l'étoile d'un jaloux ; tout votre frère que je suis, je crois que j'aiderais moi-même à vous tromper. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Elle va être malheureuse, et son père m'a conjuré en mourant de veiller à son bonheur ; que ne puis-je pour elle et pour mon frère empêcher ce ridicule mariage, je m'y tiendrais obligé en conscience. (Acte 1, scène 2, HORACE)
Vous me répondez plus que vous ne pensez, par votre peu d'attention à ce que je dis. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Je gagerais volontiers mille pistoles contre votre beau cheval d'Espagne que vous en voulez à Lucelle. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Allons courage, Seigneur Zima, délivrez mon frère de ce danger, et assurez par un bon mariage votre bonheur et celui de Lucelle. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Il vous en coûte un argent infini dans toutes vos fêtes qui ne vont tout au plus qu'à être aperçues de Lucelle. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Il y a six mois que pour la première fois j'aperçus Lucelle à sa fenêtre, j'en fus frappé jusqu'au fond du coeur, mais le farouche Aldobrandin était avec elle, il ne me laissa jouir qu'un moment d'une vue dont il craignit sans doute l'impression qu'elle fit sur moi. (Acte 1, scène 3, ZIMA)
Depuis ce commencement je n'ai songé qu'à la revoir, toutes mes fêtes n'ont d'autres objets que de l'engager à reparaître ; je l'ai revue quelques fois en effet, mais toujours avec ce maudit Aldobrandin qui ne levait presque point les yeux de dessus elle ; si par hasard pourtant il regardait un petit moment la fête, il me semble qu'alors Lucelle ne regardait que moi ; plaire à l'amour que je ne me trompe point : mais pour peu, qu'elle m'ait vu, elle ne saurait douter que je ne l'adore : Je n'ai pu jusqu'ici l'assurer mieux de mon amour ; mais heureusement il vient de s'offrir une occasion favorable que j'ai crû ne pouvoir trop acheter : Une femme arrivée de Boulogne a demandé à mon Valet votre demeure et celle d'Aldobrandin ; de question en question, ( car il est curieux ) il a appris qu'un ami l'adressait à votre frère pour la mettre auprès de Lucelle comme une gouvernante incorruptible. (Acte 1, scène 3, ZIMA)
Scapin m'a averti de sa découverte ; avec bien des prières et un diamant de dix mille écus, j'ai enfin résolu cette femme à n'entrer chez Aldobrandin que pour m'y servir. (Acte 1, scène 3, ZIMA)
Je voudrais acheter votre maison ; j'ai dessein d'y faire mille accommodements où vous ne consentiriez peut-être pas, et que je ne dois pas risquer sur le fond d'autrui, je suis prêt de vous en donner un prix raisonnable : que m'en demandez-vous ? (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Eh bien, qu'a de commun ce prodige avec votre maison ? (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Si vous m'accordez un quart_d_heure d'entretien avec Lucelle, et déterminez vous, il ne s'agit plus de vingt cinq mille écus, je n'abandonne plus ma maison qu'à ce prix. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Quoi donc, me croyez-vous homme à commettre mon honneur et celui de Lucelle ? (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Finissons, il n'y a plus rien entre nous. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
C'est un caprice qu'il faut contenter ; quoi qu'il m'en coûte, je veux faire ma cour aux Dames par ce trait de galanterie qui n'a point encore eu d'exemple, et qu'on sache partout quel cas je fais de leur mérite, puisque j'achète si cher un quart_d_heure d'entretien avec une belle. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Il est juste que vos caprices vous coûtent, et peut-être l'aventure vous corrigera-t-elle. Passez dans mon cabinet, signez moi une bonne cession de la maison. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Je vais faire venir Lucelle, et la montre sur la table, vous viendrez l'entretenir tout votre quart_d_heure en ma présence. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Songez bien que ce sont-là nos conditions précises ; et de plus, j'exige votre parole de ne lui rien dire qu'une fille sage ne puisse entendre. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Venez Lucelle, vous savez mes desseins : je vais être votre époux au premier jour, et les soumissions que vous avez toujours fait voir pour mes volontés, vont devenir pour vous un devoir encore plus indispensable. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Que n'est-il aussi aisé d'être heureuse que d'être sage. (Acte 1, scène 6, LUCELLE)
Votre bonheur est en bonnes mains, j'en fais mon affaire. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Voici à présent ce que j'exige de vous, il m'importe pour certain intérêt, que vous saurez, que le Seigneur Zima vous entretienne un quart_d_heure ; j'y ai consenti. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Pas un seul, il faut m'obéir à la lettre. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Voilà votre place, et voilà la sienne, et moi j'observerai d'ici. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Voici aussi Lucelle prête à vous écouter, regardez bien quelle heure il est à cette montre, sept heures dix minutes, dix minutes, la voilà sur la table, ne perdez rien de votre quart-d'heure. (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Les moments me sont précieux, Charmante Lucelle, mais heureusement tout vous a déjà dit que je vous adore, toutes mes fêtes ont été des déclarations assez éclatantes ; et il ne me reste à vous demander pour prix de mon amour, que vous avez daigné l'apercevoir ; parlez de grâce, parlez, dites un mot. Si cet amour vous offense, je me retire dans le moment : Mais si vous l'avez vu avec quelque bonté, il n'est rien que je n'entreprenne pour mériter un plus grand bonheur. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Vous ne me répondez rien ; quelle froideur, que dis je, quel mépris injurieux dans ce silence ! Ah , vous n'êtes pas capable d'un dédain si grossier, c'est sans doute un jaloux qui vous gêne et qui m'envie jusqu'à la douceur de votre voix. Seigneur Aldobrandin ! (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Il est donc vrai qu'Aldobrandin vous défend de me répondre : je ne saurais croire que vous vouliez lui complaire à ce point, par un véritable attachement pour lui : il en est indigne ; préféreriez vous un tyran qui n'imagine de plaisir que votre possession, sans s'embarrasser du bonheur de vous plaire, à un homme qui voudrait payer de mille vies le moindre de vos sentiments ? (Acte 1, scène 7, ZIMA)
J'ai déjà quatre minutes sur la maison. (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Mais trouvez bon que je prenne votre silence pour un aveu et que je m'y conforme comme à un ordre inviolable. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
J'ai vu vôtre amour, et je vous avoue même que j'en ai été touchée ; mais je dépends d'Aldobrandin, il est le maître de disposer de mon sort, je ne veux pas m'abandonner a une inclination qui ne saurait être heureuse. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Qui ne saurait être heureuse dites-vous ? (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Consentez-y seulement, je romprai votre esclavage. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Et si je vous mets en liberté de recevoir ma foi, et de m'engager la vôtre, vous refuserez-vous au plus amoureux et au plus fidèle de tous les hommes ? (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Je vous avertis déjà, qu'il va arriver ici une femme qui a toute ma confiance, et à qui vous pouvez donner la vôtre, le frère d'Aldobrandin est lui-même de notre intelligence ; c'est à vous de seconder nos vues puisque vous m'aimez, (car vous ne m'en désavouez pas;) votre vertu même doit tout tenter pour n'être qu'à moi. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Je me rends, Seigneur Aldobrandin, la maison est à vous, je ne la tiens pas trop bien gagnée, je la mets sur votre conscience. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Me voilà guéri pour jamais de l'entretien des Dames. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Vous réussirez mieux une autre fois. (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Adieu, gardez la maison, mais je vous avertis que j'y sais un Trésor que je n'ai pas prétendu mettre dans notre marché, et que je m'y réserve tout mes droits. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Adieu, Madame ; jugez combien je suis charmé de votre conversation, il n'y a pas un mot à perdre. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Oui, ma chère Lucelle, je suis charmé de la joie que vous a donné l'étourderie de Zima : vous en riez encore, et vous voyez par là ce que c'est que les jeunes gens ; il lui en coûte sa maison pour s'être fait moquer de lui ; et voilà comme ils sont tous faits. (Acte 2, scène 2, ALDOBRANDIN)
Vous êtes trop heureuse, Lucelle, que par le choix que je fais de vous, je vous mette à couvert de tous ces dangers : vous méritiez un homme de ma prudence et de mon âge, qui veille sans relâche à votre fortune, et de qui la maturité vous répondit d'un attachement solide. (Acte 2, scène 2, ALDOBRANDIN)
Quelle comparaison de votre conversation à celle de Zima ! (Acte 2, scène 2, LUCELLE)
Oui, mon frère, je vous amène la gouvernante que notre ami commun vous envoie ; il me mande que c'est un trésor, et que vous pouvez entièrement vous reposer à sa vigilance et à sa discrétion. (Acte 2, scène 3, HORACE)
Voici, Seigneur, une Lettre du Seigneur Albert_de_Bologne, je vous conseille de vous en fier plus à lui qu'à ma physionomie. (Acte 2, scène 3, LA GOUVERNANTE)
La personne que je vous adresse est admirable pour sa vigilance et ses bons conseils, elle a fait ici la sûreté de plusieurs maris ; je souhaite qu'elle fasse aussi la vôtre. (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
C'est la chose du monde la plus rare qu'une gouvernante incorruptible ; il y a bien des aventures qui ne donnent pas bonne opinion de leur fidélité ; mais celle-ci est le désespoir des amants, elle a gouverné trois ou quatre femmes qui sont mortes au bout de quatre mois de mariage. (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Pendant tout ce temps il n'y a as eu le moindre soupçon sur leur vertu ; quelques uns disaient qu'elle les avait fait mourir de chagrin, mais en tout cas pour un jaloux, il vaut encore mieux perdre sa femme que d'en être la dupe. (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Voilà vraiment de belles maximes, je suis fort obligé au Seigneur Albert, et je ne saurais remettre en de meilleures mains ce que j'ai de plus cher au monde. (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Voilà la personne quel j'épouse et que je remets dès ce moment sous votre conduite. (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
C'est là votre future épouse ? (Acte 2, scène 3, LA GOUVERNANTE)
Non, Madame, vous ne vous trompez pas ; je sais et je sens tout ce que je devrai à un époux ; et celui qui veut être le mien, doit s'assurer que son amour seul fera plus sur moi, que tous les surveillants du monde. (Acte 2, scène 3, LUCELLE)
J'en suis bien aise, et malgré l'avis dont j'étais tantôt, je commence à être très content de tout ceci. (Acte 2, scène 3, HORACE)
Quand c'est tyrannie de sa part, une femme trouve bientôt moyen de s'en venger ; mais une femme sage doit les souhaiter pour sa propre gloire ; on la soupçonne aisément, quand elle a la facilité de faillir ; il faut qu'elle s'en ôte scrupuleusement toutes les occasions pour faire taire la médisance ; tenez, Mademoiselle, par exemple, est Personne à vous conjurer au premier jour de prendre toutes les précautions de la jalousie, non pas pour votre tranquillité, mais pour la sienne. (Acte 2, scène 3, LA GOUVERNANTE)
Quelle douceur pour une femme vertueuse de n'être point assiégée par ces galants de profession , qui outragent dès le premier abord par espérance qu'ils ont de nous séduire, qui se vantent indiscrètement de leurs succès, et qui, quand on les rebute, ont encore la perfidie d'en laisser douter. (Acte 2, scène 3, LA GOUVERNANTE)
Mon frère, j'aperçois Zima dans votre antichambre. (Acte 2, scène 3, HORACE)
Que me veut-il, et pourquoi l'a-t-on laissé entrer ? (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Cette Femme tient à la vérité les plus beaux discours du monde, mais après tout ; ce sont des discours ; l'effet est peut-être bien différent. (Acte 2, scène 3, HORACE)
Voici une belle occasion de l'éprouver, feignez de rentrer, et laissez-la dans cette chambre. (Acte 2, scène 3, HORACE)
Un jeune Homme ose entrer jusqu'ici, oh, oh, le bon ordre n'est pas encore ans cette maison, il faudra l'y mettre ; halte là Seigneur, que cherchez-vous ? (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Mais elle ne l'a pas encore épousé, et peut-être qu'un jeune homme bien amoureux, bien riche, bien magnifique serait mieux le fait de Lucelle que son vieux tuteur... (Acte 2, scène 4, ZIMA)
Il faut résoudre Aldobrandin à conclure dès ce soir, ce sera le moment de notre bonheur. (Acte 2, scène 4, ZIMA)
Vous m'effrayez, Zima peut les mettre à profit, et il n'aura pas d'autres affaires, lui. (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
J'avance, ma chère enfant, l'instant de notre bonheur ; on est allé chercher le notaire, et je vous épouse dès ce soir. (Acte 2, scène 6, ALDOBRANDIN)
C'est moi même qui ai conseillé au Seigneur Aldobrandin de conclure dès ce soir, il faut bien vous délivrer de la persécution, c'est pour votre vertu que l'on travaille. (Acte 2, scène 6, LA GOUVERNANTE)
Va mignonne, je reconnaîtrai bien cette complaisance ; que nous allons être heureux ensemble ! (Acte 2, scène 6, ALDOBRANDIN)
Je tremble. (Acte 2, scène 7, LUCELLE)
Mettez-là votre nom, Seigneur. (Acte 2, scène 7, LE NOTAIRE)
Et vous Mademoiselle mettez-y le vôtre ; allons point de timidité. (Acte 2, scène 7, LE NOTAIRE)
Comptez que vous signez votre fortune. (Acte 2, scène 7, LA GOUVERNANTE)
Oui Seigneur Aldobrandin, je vous ai cédé ma maison, elle est bien employée ; mais voilà le trésor que je m'y réservais, et vous venez vous-même de le mettre en ma possession de la meilleure grâce du monde. (Acte 2, scène 7, ZIMA)
Pardonnez-moi mon artifice, j'y sentais de la répugnance, mais il a bien fallu se résoudre cette petite dissimulation pour pouvoir être sincère toute ma vie. (Acte 2, scène 7, LUCELLE)
C'est un avis de parents : Monsieur votre frère m'en a prié pour l'amour de vous : D'ailleurs Monsieur est si Magnifique, que l'on ne saurait lui rien refuser. (Acte 2, scène 7, LE NOTAIRE)
Seigneur Aldobrandin, trouvez bon qu'ils entrent ; j'aime mieux encore vous laisser la dot de Lucelle. (Acte 2, scène 8, ZIMA)
Et l'Entreprise v.42 (Acte 2, scène 10, LE CHANTEUR DU VAUDEVILLE)

CANENTE (1752)

D'un astre plus brillant j'annonce le retour ; v.3 (Acte 0, scène 1, L'AURORE)
Votre héros revient dans ces campagnes ; v.18 (Acte 0, scène 1, L'AURORE)
Un peuple indépendant cesse pour lui de l'être ; v.63 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Et c'est par vos conseils qu'on le choisit pour maître. v.65 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
Circé, m'est-il permis de lire en votre coeur v.66 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
Qu'entends-je ? Il est donc vrai qu'il est votre vainqueur, v.70 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Est-il instruit de votre feu ? v.85 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Que tout cède à votre courage v.157 (Acte 2, scène 2, CHOEUR DE L'ÂGE DE FER)
Redoublons notre ardeur, v.161 (Acte 2, scène 2, CHOEUR DES PEUPLES)
Heureuse la beauté que votre coeur préfère ! v.169 (Acte 2, scène 3, CIRCÉ)
Quoi ! Tant d'autres pour vous n'ont que de faibles armes. v.175 (Acte 2, scène 3, CIRCÉ)
Je veux, par notre Hymen, assurer mon bonheur. v.193 (Acte 2, scène 3, PICUS)
Votre rival rendra ce dessein inutile. v.194 (Acte 2, scène 3, CIRCÉ)
Qui doit nous unir l'un à l'autre ; v.197 (Acte 2, scène 3, PICUS)
Qu'à vous faire un destin aussi doux que le nôtre. v.199 (Acte 2, scène 3, PICUS)
Il faut armer contre eux la force et l'artifice. v.210 (Acte 2, scène 4, CIRCÉ)
N'affaiblit-elle point l'amour dans votre coeur ! v.243 (Acte 3, scène , CANENTE)
Et je priais l'Amour de défendre votre âme v.258 (Acte 3, scène , CANENTE)
Contre la gloire et la grandeur. v.259 (Acte 3, scène , CANENTE)
Je fais tout mon bonheur de suivre votre loi, v.261 (Acte 3, scène , PICUS)
Circé s'approche ici, cachons notre tendresse. v.264 (Acte 3, scène , CANENTE)
L'Hymen va découvrir notre secret lien, v.272 (Acte 3, scène 3, PICUS)
Le Maître de ces eaux languit sous votre loi, v.280 (Acte 3, scène 4, CIRCÉ)
Où votre beauté vous appelle. v.287 (Acte 3, scène 4, CIRCÉ)
Est ce votre art ? v.292 (Acte 3, scène 4, CANENTE)
Est-ce votre présence ? v.293 (Acte 3, scène 4, CIRCÉ)
C'est pour voir en vous notre Reine v.295 (Acte 3, scène 5, UN DIEU DE LA TROUPE)
Nymphe recevez notre hommage, v.297 (Acte 3, scène 5, UN DIEU DE LA TROUPE)
À quoi sert notre défense ? v.306 (Acte 3, scène 6, UN RUISSEAU)
Ne sont pas contre eux un asile. v.313 (Acte 3, scène 6, CHOEUR)
Rien ne vous touche à votre tour ? v.317 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Que d'être immortelle avec moi. v.328 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
C'est moi que votre coeur abhorre. v.334 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Je sais trop qu'un grand Dieu doit être respecté. v.335 (Acte 3, scène 7, CANENTE)
Que je mesure votre haine. v.340 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
La victime, l'autel, le prêtre et les amants. v.361 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Tremble, crains tout des feux que je te viens d'apprendre, v.367 (Acte 3, scène 7, CIRCÉ)
Ce que je ferai contre toi. v.370 (Acte 3, scène 7, CIRC?)
Ce que c'est que d'être immortelle ? v.409 (Acte 3, scène 2, CIRCÉ)
Mais j'aime mieux être fidèle. v.411 (Acte 3, scène 2, CANENTE)
En des monstres affreux j'ai changé tous ses charmes, v.430 (Acte 3, scène 2, CIRCÉ)
Ministres de mon art, vous que la rage anime, v.440 (Acte 3, scène 2, CIRCÉ)
Venez, rassemblez-vous, voilà votre victime ; v.442 (Acte 3, scène 2, CIRC?)
Quelle pitié soudaine éteint notre courroux ? v.475 (Acte 3, scène 4, CHOEUR DES MINISTRES)
Mes soins ont réussi, vous allez être heureux. v.499 (Acte 3, scène 5, CIRCÉ)
Qu'entends-je, Ministres perfides ? v.504 (Acte 3, scène 5, CIRCÉ)
Devenez à l'instant des monstres furieux, v.508 (Acte 3, scène 5, CIRC?)
Tremblez, les jours du Roi me répondront des siens. v.516 (Acte 3, scène 5, LE TIBRE)
Monstres, calmez votre furie ; v.518 (Acte 3, scène 5, CIRCÉ)
Aux dépens de mes jours veut-elle être immortelle ? v.530 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Et se peut-il que contre moi v.533 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Elle implore votre puissance ? v.534 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Laissez-moi lui montrer un dépit éclatant ; v.540 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Elle fuit en ces lieux votre juste douleur. v.544 (Acte 5, scène 1, CIRCÉ)
Il vous est doux d'être immortelle, v.554 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Votre bonheur est accompli. v.559 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Je commande aux monstres des bois. v.599 (Acte 5, scène 2, CIRCÉ)
Prétends-tu me soumettre à tes commandements, v.603 (Acte 5, scène 2, L'AMOUR)
Cesse de combattre sa flamme, v.604 (Acte 5, scène 2, L'AMOUR)
Ne peut être brisé par tes enchantements. v.606 (Acte 5, scène 2, L'AMOUR)
Il faut vous détromper, votre nymphe est fidèle. v.615 (Acte 5, scène 3, CIRCÉ)
Je vous aime, et l'Amour m'avait armé contre elle, v.617 (Acte 5, scène 3, CIRCÉ)
Allons à votre nymphe annoncer ce bonheur, v.626 (Acte 5, scène 3, CIRCÉ)
J'implore toute votre rage. v.631 (Acte 5, scène 1, CIRCÉ)
J'implore toute votre rage, v.639 (Acte 5, scène 1, CIRC?)
Que leurs flammes vont être heureuses. v.646 (Acte 5, scène 1, CIRCÉ)
Que mon amour est différent du vôtre ; v.677 (Acte 5, scène 2, CIRCÉ)
Le Roi n'a pu m'aimer, il m'en préfère une autre, v.679 (Acte 5, scène 2, CIRC?)
Eh ! Qu'il soit donc le seul que votre amour punisse. v.681 (Acte 5, scène 2, LE TIBRE)
Ah ! Si c'est là votre vengeance v.686 (Acte 5, scène 2, LE TIBRE)
Venez, qu'un noeud charmant vous joigne l'un à l'autre. v.694 (Acte 5, scène 3, CIRCÉ)
Le Tibre,comme moi, fait son bonheur du vôtre, v.695 (Acte 5, scène 3, CIRC?)
Le prix de notre effort est de vous voir heureux. v.697 (Acte 5, scène 3, LE TIBRE, CIRCÉ)
Cet effort généreux passe notre espérance ; v.698 (Acte 5, scène 3, PICUS, CANENTE)
Notre coeur va se partager. v.700 (Acte 5, scène 3, PICUS, CANENTE)
Entre l'Amour et la reconnaissance. v.701 (Acte 5, scène 3, PICUS, CANENTE)
Que rien ne brise notre chaîne. v.722 (Acte 5, scène 4, PICUS, CANENTE)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 9 textes (soit une présence dans 0,47 % des textes) dans lesquels il y a 918 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 102,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 0	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Prologue	Acte 5	Acte 6	Total
1	LA MATRONE D'?PH?SE	71	0	0	0	0	0	0	0	71
2	LE CARNAVAL ET LA FOLIE	22	8	19	15	10	0	0	0	74
3	AMADIS DE GRÈCE	11	0	12	10	7	5	9	0	54
4	INÈS DE CASTRO	37	0	39	47	40	0	28	0	191
5	OMPHALE	20	0	24	17	8	8	19	0	96
6	LES MACHABÉES	27	0	26	47	52	0	23	0	175
7	LE MAGNIFIQUE	47	0	34	0	0	0	0	0	81
8	CANENTE	0	2	24	33	0	0	28	0	87
9	SCANDERBERG	0	0	13	11	25	9	18	12	88
10	LE MAGNIFIQUE	0	0	1	0	0	0	0	0	1
	Total	235	10	192	180	142	22	125	12	918